3 juillet Publié le juillet 3, 2019 par frederic teillard — Laissez une réponse désirer dire qu’au cœur de la bibace une fois du tranchant des ongles tirée la peau orange et duvetée et du bout des lèvres ou des dents la chair juteuse fraîche et acidulée apparaissent de si gros pépins qu’on dirait des noyaux dont la souple écorce d’un brun chaud luisant de suc et de salive fendue révèle une chair jaune pâle et acide mate et dure (les traités de botanique apprennent qu’elle contient de l’acide cyanhydrique si toxique qu’à faible dose déjà mortel) mais jeter l’éponge