apprends des merles puisque
tout de tes pareils tu rebutes
à saluer le jour qui paraît
la nuit qui tombe et du ciel
que l’invisible est plus nombreux
que l’apparent le noir
que la lumière apprends
de l’arbre à retenir
ta hâte horizontale
la profondeur de l’éphémère
du moucheron et de l’enfant
ton dissemblable encore
qu’un rien peut être
ce que tu veux