les sardines les tulipes prises
au grand marché de la mer vide et
de la terre épuisée donnent
au regard des restes de joie des
tourments à l’esprit l’enfant
qui danse qu’il demeure
vif en l’alarmé
qu’à la lueur de la lame du couteau
plongée dans la chair claire des fenouils des
carottes des aulx recule la nuit
la mélancolie la chair exulte aussi
sur la voie de sa poussière