27 novembre Publié le novembre 27, 2019 par frederic teillard — Laissez une réponse ma bouche animal prudent comme obstiné sous tes cheveux cherche le creux où se coule ton épaule se perd ton cou et que d’un trait garde ta clavicule mes lèvres y soupirent ces mots triste et lasse n’est pas la chair mais suppliante désarmée