dominent la plage où marchent des familles entre la joie et la corvée de vivre de grandes maisons haletantes de souvenirs incertains et de lectures de poètes que la mort a délivrés de l’affolement que leur échappent les mots
emportés par le vent les pleurs des goélands comme des tessons de prières
et plus loin
si rassurante dans son recommencement
à ne rien dire
la mer